Discours du président lors des vœux de la CPME, signature de la convention sur l’emploi des jeunes avec France-Universités, rencontre avec la Compagnie des commissaires aux comptes (CNCC) : retour sur les temps forts de la CPME en janvier.
Mercredi 10 janvier, dans les superbes salons de l’Hôtel de l’Industrie à Paris, adhérents, partenaires, journalistes et institutionnels se sont retrouvés dans une ambiance conviviale, autour de François Asselin. L’opportunité d’adresser un message d’espérance et d’optimisme à tous pour la nouvelle année qui s’ouvre, un message réaliste qui a abordé sur les chantiers et les difficultés actuelles des entrepreneurs, auxquelles la CPME va s’attaquer.
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François Asselin et Guillaume Gellé, président de France Universités, ont signé le 10 janvier dernier une convention de coopération afin d’initier ensemble des projets et des actions concrètes pour favoriser l’insertion des jeunes au terme de leurs études ainsi que les parcours professionnels, notamment ceux des femmes.
Avec cette convention, la CPME et France-Universités entendent intensifier les relations existantes entre le monde économique et le monde universitaire, tant sur le plan national que sur le plan territorial.
Aussi, cette démarche est articulée autour des thématiques que sont :
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EN SAVOIR PLUS
Le 10 janvier toujours, François Asselin a reçu le président de la CNCC, Yann Ollivier, pour évoquer la situation des PME à l’égard de la nouvelle obligation européenne qui pèsera sur les entreprises de plus de 250 salariés, en matière de reporting de durabilité.
Ils se sont rejoints sur l’impact de ce reporting sur les TPE-PME, quand elles figurent notamment dans la chaine de valeur.
La CNCC soutient l’exigence de transparence et de comparabilité des données extra-financières, considérant au même titre que la CPME, que cette démarche doit valoriser les PME et leur attractivité.
Toutefois, les deux organisations ont déploré que la complexité et la multiplication des standards de reporting représentaient une surcharge administrative lourde.
Par ailleurs, François Asselin et Yann Ollivier ont échangé plus largement sur les difficultés des entreprises et sur les questions relatives à leur détection le plus en amont possible. Ils ont évoqué les mécanismes pouvant être utilisés dans ce cadre pour identifier les signaux faibles. Le sujet de l’accompagnement par les GPA a également été abordé.