La CPME assure la représentation et la défense de l’ensemble des petites et moyennes entreprises, tous secteurs confondus (industrie, commerces, services et artisanat), au niveau national, aussi bien auprès des pouvoirs publics que des partenaires sociaux, ainsi qu’au niveau international.
La CPME siège dans la totalité des instances officielles de réflexion, de concertation et de décision, qu’elles soient d’ordre économique, juridique ou social, tant plan national que territorial
(régional, départemental, local).
En Savoie, la CPME compte 60 mandataires, chefs d’entreprises adhérents qui choisissent de défendre les intérêts de nos PME dans les instances de gestion du département. Nous les remercions vivement !
En tant que chef d’entreprise, nous sommes constamment en relation avec les organismes paritaires :
Les mandataires de la CPME Savoie sont là pour vous informer et pour vous défendre.
Contactez- les : mandataires@cpmesavoie.fr
« Nous, les PME, représentons 80 % de l’économie française. Il est donc essentiel pour nous de se rassembler et de peser de tout
notre poids dans les instances locales, régionales et nationales. Utilisons cette représentativité ! Ensemble, faisons entendre la voix
des PME ! »
Patrick Richiero – Président de la CPME Savoie
Tribunal de Commerce
Conseil des Prud’Hommes
CCI
Préfecture
Santé au travail
CAF
CPAM
AGEFOS PME
IFA des Alpes
CAP EMPLOI
Ecoles
Universités
URSAFF
https://vimeo.com/223266551
Jean François QUESNEL, président de la CAF de la Savoie
Un mandat patronal auprès de la CAF de la Savoie
1. Jean-François QUESNEL : qui êtes-vous?
Dirigeant de SAS MIQRO entreprise de 25 salariés dans le domaine de l’électronique professionnelle. Je suis également élu et Maire de Saint Jean de la Porte commune de 1000 habitants.
2. Pourquoi vous êtes-vous investi dans ce mandat particulièrement ?
Depuis soixante ans, les Allocations familiales accompagnent les familles dans leur vie quotidienne. Acteur majeur de la solidarité nationale, la branche Famille est un réseau piloté par la Caisse nationale des Allocations familiales, présent sur tout le territoire grâce aux 102 caisses d’Allocations familiales en France. Mobilisées au service des allocataires, les Caf prennent en charge les prestations légales et développent une action sociale familiale sur leurs territoires.
Le mandat CAF est actuellement représentatif du fonctionnement paritaire de la Sécurité Sociale.
Les décisions des différentes commissions sont rarement remises en cause par la M.N.C (Mission Nationale de Contrôle) ce qui renforce le travail effectué.
3. Quelques actions concrètes à nous présenter?
Défendre les convictions des employeurs regroupés au sein de la CPME sur la gestion du fonctionnement de la CAF dont les financements sont essentiellement assurés par les cotisations sur les salaires.
En plus du Conseil d’Administration le travail s’effectue dans trois commissions paritaires (50% syndicats employeurs 50% syndicats salariés) principales :
· La Commission de Recours Amiable (C.R.A.) qui examine à la demande des cas pour des remises d’indus (trop perçus suite à des déclarations tardives). La commission examine les cas dans leur intégralité : situation sociale du demandeur et recherche des demandes frauduleuses.
· La Commission d’Aide Sociale (C.A.S.) qui aide les plus démunis par des financements d’équipements indispensables.
· La Commission des Aides Collectives (C.A.C.) qui agit auprès des collectivités pour financer les centres sociaux, les RAM, la construction de nouvelles crèches, etc.
4. En termes d’implication, combien de temps consacrez-vous à ce mandat?
En moyenne entre 2 à 3 demi-journées par mois
5. Avez-vous quelque chose à rajouter ? / Que diriez-vous à un adhérent qui hésite à s’engager?
Un mandat CAF, même s’il mobilise du temps et de l’énergie, permet vraiment de comprendre et de s’engager dans des actions concrètes pour aider l’action sociale dans notre pays.
C’est un prolongement actif de la volonté de beaucoup de chefs d’entreprise de construire un monde équitable par le travail.
Un mandat patronal dans la santé 73
1. Grégory BARBIN : qui êtes-vous?
Expert-Comptable associé et membre du Conseil d’administration du cabinet BDO, je suis investi depuis 9 ans maintenant au côté de la CPME Savoie. J’exerce la fonction de Vice-Président de la Santé au Travail 73.
2. Pourquoi vous êtes vous investi dans ce mandat particulièrement ?
L’Association de la Santé au Travail 73 a pour mission exclusive d’éviter toute altération de la santé des travailleurs du fait de leur travail.
Pour mener à bien cette mission, les Equipes pluridisciplinaires de la Santé auTravail, animées et coordonnées par un Médecin du travail mettent en œuvre :
– Conduite d’actions de santé au travail, dans le but de préserver la santé physique et mentale des travailleurs tout au long de leur parcours professionnel
– Conseil aux employeurs, aux travailleurs et leurs représentants sur les dispositions et mesures nécessaires :
o afin d’éviter ou de diminuer les risques professionnels,
o d’améliorer les conditions de travail,
o de prévenir la consommation d’alcool et de drogue sur le lieu de travail,
o de prévenir le harcèlement sexuel et moral,
o de prévenir ou de réduire la pénibilité du travail et la désinsertion professionnelle,
o de contribuer au maintien dans l’emploi des travailleurs.
3. Quelques actions concrètes à nous présenter?
Les chefs d’entreprise élus et présents au Conseil d’administration gèrent de manière paritaire avec des représentants des syndicats salariés l’association de la Santé au Travail de la Savoie. Certains élus peuvent s’occuper de projet particulier : finance, locaux, optimisation de certains postes de dépenses.
4. En termes d’implication, combien de temps consacrez-vous à ce mandat?
Je consacre en moyenne un déplacement tous les deux mois sur l’année entre les réunions ainsi que les rendez-vous de travail avec la directrice.
5. Avez-vous quelque chose à rajouter ? / Que diriez-vous à un adhérent qui hésite à s’engager?
Aujourd’hui, faire entendre la voix des TPE – PME est une nécessité pour tous, c’est aussi le devoir de chacun. Participer au fonctionnement d’une association comme la Santé au Travail est utile pour l’ensemble des chefs d’entreprise et permet de comprendre le fonctionnement du service.
Jean Rémy MIGNOT, président de l’IFA des Alpes.
Un mandat patronal dans l’apprentissage
1. Jean Rémy Mignot : qui êtes-vous?
Retraité, ancien directeur de l’ENAAI, je suis investi depuis 12 ans maintenant au côté de la CPME.
Je me rebelle souvent face à des textes incompréhensibles dont je ne comprends pas les finalités et face à des décisions politiques ou juridiques qui vont à l’encontre de l’intérêt des jeunes et de celui de nos entreprises. Prendre la responsabilité d’un mandat patronal à la CPME Savoie était donc pour moi une évidence : je m’engageai ainsi dans le domaine de la formation et pris la présidence de l’Institut de Formation par Alternance (IFA) des Alpes, il y a 3 ans.
2. Pourquoi vous êtes vous investi dans ce mandat particulièrement ?
L’IFA des Alpes est un Centre de Formation d’Apprentis (CFA) « Hors Les Murs » qui accompagne sur l’académie de Grenoble plus de 700 jeunes dans 28 Unités de Formation par l’Apprentissage (UFA) elles-mêmes portées par des établissements d’enseignementpublics ou privés répartis sur tout notre territoire.
La mise en place de formations par apprentissage est déterminée par la pertinence d’un projet de formation répondant aux besoins d’un secteur géographique et d’activités identifiés. Il permet à chaque jeune apprenti de mener de front sa formation théorique et son apprentissage technique dans une entreprise en lui apportant une plus-value et en lui assurantunemploi.
3. Quelques actions concrètes à nous présenter?
Les chefs d’entreprise proposent d’ouvrir et de fermer une section en fonction de leurs besoins en volume et en niveau de qualification, pour peu qu’ils se mobilisent pour donner leur avis. La région qui finance a toujours le dernier mot.
4. En termes d’implication, combien de temps consacrez-vous à ce mandat?
Je consacre en moyenne un déplacement par mois sur l’année entre les réunions du Conseil d’administration ou du conseil de perfectionnement ainsi que les rendez-vous de travail avec la directrice ou les partenaires de l’IFA.
5. Avez-vous quelque chose à rajouter ? / Que diriez-vous à un adhérent qui hésite à s’engager?
Aujourd’hui, faire entendre la voix des TPE – PME est une nécessité pour tous, c’est aussi le devoir de chacun. Ne pas laisser la défense des entreprises à d’autres mais s’engager soi-même pour défendre les TPE – PME.